Tous droits réservés à la présidence ©2020
Il s'agit de l'un des projets énergétiques les plus importants en Égypte et en Afrique, reposant sur les derniers types de technologie, à savoir la mise en place d'un complexe de raffinage moderne à Mostorod d'un coût total de 4,336 milliards de dollars. Le financement étranger est estimé à 87% du coût total du projet, ce qui donne confiance au climat d'investissement en Égypte.
Le projet est un modèle réussi de partenariat entre le gouvernement égyptien représenté par la Société égyptienne du pétrole et le secteur privé.
Il a été conçu selon les normes internationales et locales les plus élevées, et les exigences de la communauté locale en matière d'environnement, ce qui rend le projet respectueux de l'environnement. La société a été créée en raison de l'augmentation de la demande locale de produits pétroliers, en particulier le diesel et l'essence, à la lumière de la croissance de l'économie égyptienne et l'augmentation significative de la consommation. En outre, l'entreprise a fourni de nombreuses activités sociales à travers (fournir une formation professionnelle et technique pour qualifier les jeunes pour le marché du travail - contribuer à soutenir le processus éducatif - mettre en œuvre de nombreuses initiatives pour améliorer l'environnement et fournir un soutien à des groupes spéciaux).
L'idée du projet dépend de la pleine utilisation du diesel (un distillat) et de sa conversion en produits de la société générale du pétrole (diesel - cuiseur - essence), ainsi que de la séparation du soufre et du coke pour le marché local. Le volume de production annuel du projet atteint environ 4,1 millions de tonnes de produits pétroliers pour le marché local, dont 2,9 millions de tonnes de diesel et de carburéacteur.
Les unités de service public et l'unité de production d'hydrogène ont été entièrement mises en service au dernier trimestre de 2018, l'unité diesel à faible teneur en soufre a été mise en service en février 2019, l'unité de traitement du naphta et la production d'essence à indice d'octane élevé ont été mises en service en mars 2019, l'unité de distillation a été mise en service en avril 2019, et l'unité de charbon différée a été mise en service en Juillet 2019. Enfin, l'unité d'hydrocraquage a été mise en service en septembre 2019, et le volume de production du projet à la fin du mois d'octobre a atteint 1349 millions de tonnes et a été fourni à la société générale du pétrole.
Dans le domaine de la préservation de l'environnement, le projet a réussi à empêcher l'émission de 186 000 tonnes de dioxyde de soufre par an dans l'air du Grand Caire. L'eau a également été réutilisée et recyclée par des circuits de refroidissement fermés et respectueux de l'environnement. Le projet a été équipé de 6 départs électriques d'une capacité de 66 kilovolts pour les quatre sous-stations du réseau électrique local.
Le projet vise à sécuriser la présence de produits pétroliers et à réduire l'écart entre la production et la consommation en réduisant l'importation de diesel et d'essence de 30% à 40%, et en économisant 300 millions de dollars par an en évitant les coûts de transport et de sécurisation des produits pétroliers importés ainsi qu'en offrant 9000 emplois directs pendant la construction, ainsi qu'environ 1350 opportunités d'emploi lors de l'exécution.
Il s'agit de l'un des projets énergétiques les plus importants en Égypte et en Afrique, reposant sur les derniers types de technologie, à savoir la mise en place d'un complexe de raffinage moderne à Mostorod d'un coût total de 4,336 milliards de dollars. Le financement étranger est estimé à 87% du coût total du projet, ce qui donne confiance au climat d'investissement en Égypte.
Le projet est un modèle réussi de partenariat entre le gouvernement égyptien représenté par la Société égyptienne du pétrole et le secteur privé.
Il a été conçu selon les normes internationales et locales les plus élevées, et les exigences de la communauté locale en matière d'environnement, ce qui rend le projet respectueux de l'environnement. La société a été créée en raison de l'augmentation de la demande locale de produits pétroliers, en particulier le diesel et l'essence, à la lumière de la croissance de l'économie égyptienne et l'augmentation significative de la consommation. En outre, l'entreprise a fourni de nombreuses activités sociales à travers (fournir une formation professionnelle et technique pour qualifier les jeunes pour le marché du travail - contribuer à soutenir le processus éducatif - mettre en œuvre de nombreuses initiatives pour améliorer l'environnement et fournir un soutien à des groupes spéciaux).
L'idée du projet dépend de la pleine utilisation du diesel (un distillat) et de sa conversion en produits de la société générale du pétrole (diesel - cuiseur - essence), ainsi que de la séparation du soufre et du coke pour le marché local. Le volume de production annuel du projet atteint environ 4,1 millions de tonnes de produits pétroliers pour le marché local, dont 2,9 millions de tonnes de diesel et de carburéacteur.
Les unités de service public et l'unité de production d'hydrogène ont été entièrement mises en service au dernier trimestre de 2018, l'unité diesel à faible teneur en soufre a été mise en service en février 2019, l'unité de traitement du naphta et la production d'essence à indice d'octane élevé ont été mises en service en mars 2019, l'unité de distillation a été mise en service en avril 2019, et l'unité de charbon différée a été mise en service en Juillet 2019. Enfin, l'unité d'hydrocraquage a été mise en service en septembre 2019, et le volume de production du projet à la fin du mois d'octobre a atteint 1349 millions de tonnes et a été fourni à la société générale du pétrole.
Dans le domaine de la préservation de l'environnement, le projet a réussi à empêcher l'émission de 186 000 tonnes de dioxyde de soufre par an dans l'air du Grand Caire. L'eau a également été réutilisée et recyclée par des circuits de refroidissement fermés et respectueux de l'environnement. Le projet a été équipé de 6 départs électriques d'une capacité de 66 kilovolts pour les quatre sous-stations du réseau électrique local.
Le projet vise à sécuriser la présence de produits pétroliers et à réduire l'écart entre la production et la consommation en réduisant l'importation de diesel et d'essence de 30% à 40%, et en économisant 300 millions de dollars par an en évitant les coûts de transport et de sécurisation des produits pétroliers importés ainsi qu'en offrant 9000 emplois directs pendant la construction, ainsi qu'environ 1350 opportunités d'emploi lors de l'exécution.
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